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Après avoir exposé une première série de peintures qui dressait le portrait d'une société contradictoire et ironique, Alary se consacre pour l'heure,  à l'art de la sérigraphie.
 
Le "chineux" chronique, adepte des friperies et sous-sols d'églises se met chaque semaine à la recherche de nouveaux éléments sur lesquels imprimer ses  folies. Des sacs réutilisables aux linges de cuisine en passant par les jupes et les camisoles , Alary crée, le plus souvent sur une pièce déjà aimée, pour en faire un morceau d'art que l'on intègre à son quotidien.
 
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